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Zelia [On est sûr que le mec qui a inventé l'optimisme ne lui fera pas un procès.]
Tchi Tchaaaa
Bon, j'ai enfin vu "Garden State". Mais en V.F [Arf]. Et bon, j'ai aimé, oui. D' ailleurs, je savais probablement à l'avance que j' allais aimer. Ca me fait souvent ça, en fait, parce qu'en vrai je ne dois pas être très "bon public" au sens large du terme.Je n'ai jamais envie de voir, juste comme ça allez pouf, un film dont je n'aurais pas un minimum entendu parler avant, dont je ne connaitrais pas l'histoire, le genre ou le réalisateur. Pas comme mon Geek, qui est finalement vachement plus ouvert que moi en films, donc. Cela dit, lui il a trouvé ça un peu chiant, Garden State. Bon au début, je le voyais rire par instants aux passages marrants du film, mais en gros il a quand même trouvé qu' il ne se passait pas assez de trucs. [C'est pas non plus un mec qui aime que les films d'action, poutant, hein] Je sais que je suis différente là dessus. Que lui, ou que ma mère ont pu juger des films ou des bouquins que j'avais adorés "un peu chiant". Peut être que c'est ce qu'ils vont se dire en lisant mon roman, hum... Mais en vrai, oui, ce qui compte pour moi [Que ça soit surtout pas un film d'action typiquement américain déjà], pour que j'aime, il faut un univers, il faut du décalage, ou de la poésie, il faut de l'originalité, il faut que la psychologie des personnages prime. Si le réalisateur est " un artiste", selon ma définition, c'est à dire quelqu'un qui crée, qui innove, qui écrit et tourne son film tout seul comme un grand, quelqu'un qui a des choses à transmettre, à faire passer, et pas juste pour gagner plein de fric, alors il y a de grandes chances pour que son film me plaise, même s'il "ne se passe pas grand chose". Donc j'ai aimé, surtout un moment, pas que ça soit le meilleur passage du film, mais juste que c'est une scène ou le personnage principal dit un truc que j'ai trouvé extrêmement vrai. Un truc bien écrit, en plus, que j'aurais bien aimé faire dire un jour à un de mes personnages, une sensation que j'ai souvent ressenti, aussi. Quelque chose sur le fait qu'un jour, on devient presque un étranger lorsqu'on revient chez soi. Pas que l'on aime pas l'endroit ou les gens qui s'y trouvent, mais juste qu'il y a un moment où tout bascule, où on devient adulte : Et quand on retourne chez nos parents, on n' est plus "chez nous", on est juste "un invité". C'est très con, dit par moi. Enfin, justement, je crois qu'il faudrait que je le revoie, toute seule, sans m'endormir [ouais bon, j'ai somnolé cinq minutes, pas plus], et en V.O. Voilà Imaginé par Zelia, en ce jour du Lundi 13 Juin 2005, 19:38 dans la RubriK "Ma réalité".
Commentaires :
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Heureusement la nuit, je vis à Amsterdam
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à 00:01